Et ce n’est pas une critique.
C’est un constat — hérité d’une éducation où l’on dit aux petites filles d’être prudentes, et aux garçons d’y aller.
Résultat ?
Des dirigeantes brillantes, mais qui doutent de leur légitimité.
Des femmes qui attendent “d’être prêtes” là où d’autres osent.
Et une exigence invisible, constante : devoir prouver qu’on est à sa place.
Ce sont d’ailleurs souvent des hommes qui m’ont poussée à aller dans la lumière.
💡 Et si je vous disais que ce n’était pas qu’une question de genre ?
Mais plutôt une question de posture.
Et la posture, ça se travaille.
J’aide les femmes dirigeantes à :
Travailler leur estime et leur confiance.
Prendre leur place sans s’excuser.
Garder leur authenticité dans les environnements de pouvoir.
Et j’aide les hommes à voir ce qu’on ne leur a pas toujours appris à voir :
👉 la compétence ne se crie pas toujours fort, mais elle est là.
Et vous ? Qu’est-ce qui vous a aidé à prendre votre place — ou à reconnaître celle des autres ?